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Paul Johnny
Paris, France
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Le livre de Brad Stone racontant l'épopée d'Amazon (voir précédant post) pose, à mon sens, une grosse question à propos du management des sociétés à forte croissance. Bezos, comme Jobs et Gates est un précoce (au sens de surdoué), mais a aussi, comme eux, une personnalité difficile : aucun affect, beaucoup d'agressivité, aucune compassion, aucune fidélité ni loyauté, aucun équilibre entre vie professionnelle et vie privée « si vous ne pouvez pas vous dévouer corps et âme à Amazon, vous n'avez pas votre place » dit-il. La question est de savoir si c’est une fatalité pour créer et manager des entreprises disruptives ? Aucun collaborateur proche de Bezos au démarrage n'est encore chez Amazon aujourd'hui : Bezos les a détruits ou épuisés. Tout est déséquilibré en faveur de l'entreprise sans qu'il reste des avantages pour les salariés : salaires faibles, stock option nulle (compte tenu de la valeur faible de l'action du fait de l'absence de rentabilité souhaitée par Bezos), stress gigantesque, et licenciement rapide. A titre d'exemple, café et place de parking sont payantes, mais l'Advil – antidouleur – est gratuit... Je serai très curieux de connaître l'opinion d'un DRH sur la logique managériale d'Amazon. Où est le concept... Continue reading
Posted Aug 22, 2014 at Contrepoint digital
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Voici une liste tirée de la lecture passionée du livre de Brad Stone racontant l'histoire d'Amazon (La boutique à tout vendre) : Bezos Forward des mails à n'importe quel salarié avec un simple « ? ». Le salarié se doit de répondre dans la minute. Amazon confie des nouveau chantiers à des personnes ayant aucune compétence sur le sujet à traiter (la confiance dans le potentiel est bien supérieure à la compétence métier), mais à l'inverse, l'obstination à débaucher des professionnels de la logistique. Le cœur de la machine d'Amazon est un cercle vertueux théorique formulé explicitement 5 ans après la création – et vécu inconsciemment avant : des prix bas engendrent de plus nombreuses visites de clients, des clients plus nombreux entraine un accroissement des ventes et attire davantage de tierces parties souhaitant vendre sur le site, Amazon peut alléger ses coûts fixes, comme les centres de stockage, et les serveurs, cette efficacité accrue permet alors de tirer davantage les prix vers le bas Les primitives (au sens du livre Creation de Steve Grand) : ce sont des blocs de calcul simple qui , interagissant, peuvent gérer des systèmes complexes. Cette logique est la base organisationnelle... Les présentations powerpoint... Continue reading
Posted Aug 22, 2014 at Contrepoint digital
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Ce livre est passionnant et se lit comme un roman grâce au talent de ces biographes américains qui savent introduire du story telling et des dialogues dans n'importe quoi, y compris dans la création d'une société comme Amazon – à la limite de la réalité, comme le souligne la femme de Bezos dans un critique acerbe du livre sur ce point précis. Qu’importe ! L'auteur a su aller assez profond dans le détail pour expliquer le succès de cette fabuleuse société, en relatant les choix et les actions de son fondateur, mais en sachant prendre en compte l'économie globale de l'Internet à chaque moment de son histoire. Cette mise en perspective permanente permet de mieux mettre en valeur la vision de Bezos et évite de tomber sur une hagiographie creuse. Elle ajoute une dimension « historique » à l’aspect biographique. Ceux qui ont vécu le boom de l'internet prendront d'ailleurs plaisir à se rafraîchir la mémoire. L'auteur a déconstruit en partie le modèle Amazon. L'obsession du client comme valeur étalon est excellemment illustrée (et peux servir à tout responsable CRM qui cherche à attirer l'attention de sa DG). Ce modèle est très séduisant d'autant que de l'aveu même de Bezos... Continue reading
Posted Aug 22, 2014 at Contrepoint digital
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Ce livre est très agréable à lire, à l’image de son auteur, très agréable à entendre – j’ai eu la chance de l’écouter lors de la présentation de son livre qu’il a donnée dans une grande école de commerce parisienne. Ecrire au sujet du « digital » aujourd’hui est difficile, tellement ce sujet est vaste et polymorphe. Cela peut même devenir très prétentieux surtout s’il on annonce d’entrée pouvoir « traiter des huit révolutions digitales qui vont transformer l’entreprise ». Pourtant Thierry Jadot y réussit efficacement…et simplement. L’auteur n’a pas cherché à théoriser le sujet afin de trouver une ligne directrice à ces 8 révolutions. Il a préféré aborder 8 problématiques fortes en les juxtaposant, et en les déconstruisant avec des exemples très concrets. Au final, le livre se lit comme une conversation, agréable, fluide, sans polémique, sans critique agressive, et sans menaces ultimes. Cela change de bien d’autres livres du même genre. Ces 8 problématiques ont l’avantage de couvrir une très grande partie des impacts du digital et suffit donc à un dirigeant pour se mettre en chasse de ceux qui le concerne. En outre, ces impacts sont décrits en tant que tendance de fond, à la limite de... Continue reading
Posted Jul 7, 2014 at Contrepoint digital
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Les start-up sont à la mode en France. Les incubateurs fleurissent. Le gouvernement met le paquet sur la FrenchTech. La presse encense les entrepreneurs et les IPO de Criteo et de Viadeo. Les levée de fonds sont spectaculaires, 100M€ pour Blablacar, 22 M€ pour Dashlane, etc… Et tout l’establishment de ne jurer que par Lean startup pour lutter contre les GAFA qui dévorent tous les business traditionnels. Tous ceux qui, comme moi, évoluent dans ces sphères, et on vécut l’éclatement de la bulle internet, se réjouissent de ce juste retour des choses. Que de chemin parcouru ! Enfin le monde économique a-t-il compris le sérieux des start-up et l’enjeu capital qu’elles représentent pour le futur. Cette reconnaissance tardive est –t-elle le signe d’une apogée ou d’une tendance résolument structurelle ? Les start-up garderont-elles leur avantage compétitif par rapport aux grands groupes dans la course à l’innovation? C’est en tout cas cette question que soulève le livre récent et perturbant « L’éloge du retard de l’entreprise » de Dominique Turcq paru chez Eyrolles. J’ai eu le sentiment diffus qu’il était peut-être le signal faible (ou noir !) annonciateur d’un changement de paradigme. De quoi s’agit-il ? Ce livre explique comment les... Continue reading
Posted Jul 4, 2014 at Contrepoint digital
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Ces méthodes sont tout à fait déployables dans de plus grandes organisations pour la simple et bonne raison qu’une bonne partie de ces méthode repose sur des méthodes de travail « personnelles ». Continue reading
Posted Jun 16, 2014 at Contrepoint digital
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Le digital est le fruit de 3 nouveautés majeures qui, combinées, ont changé pour toujours, l’économie et le management des entreprises : la loi de Moore, l’infrastructure digitale, les méthodes de travail Continue reading
Posted Jun 16, 2014 at Contrepoint digital
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Ce n’est, ni un ouvrage théorique, bien que s’appuyant et reprenant des concepts clés du management, ni un guide pratique. Ce n’est pas non plus un livre témoignage. L’auteur le précise d’ailleurs en introduction, que ce livre a vocation à être une « anti-bible » de tout ce qui existe aujourd’hui. Continue reading
Posted Oct 24, 2012 at Contrepoint digital
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Le e-learning fait partie des concepts « serpent de mer » des nouvelles technologies. Né assez tôt (fin des années 90), mais jamais vraiment déployé à grande échelle. Coincé entre le mode d’emploi en ligne, et le cours ex cathedra retransmis en video, le elearning du mal à émerger comme solution alternative à l’enseignement en présentiel. Continue reading
Posted Oct 15, 2012 at Contrepoint digital
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J’ai lu avec intérêt l’article publié récemment par un ami qui travaillent chez Cisco et qui met en évidence comment ce micro évènement peut annoncer l’irruption des leaders de la high tech dans le monde de l’automobile et précipiter la fin de quelques grands fleurons de cette industrie du 20e siècle. Continue reading
Posted Oct 9, 2012 at Contrepoint digital
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Comme je l'indiquais dans la note précédante, la gamificaiton est un art complexe. Vous trouverez résumé dans l'image ci-dessous les différents éléments qui doit être revus pour fabriquer une expérience de gamification complète. Vous verrez qu'il existe de nombreuses dimensions à évaluer. Chaque extrémité de branche est autant de choix qu'il faut faire, de contenu à produire ou d'interacvtion à programmer. J'ai placé ici en gras celles qui concernent les extensions sociales particulièrement importantes pour réussir une intégration dans les réseaux sociaux. Cette méthodologie reprend pour partie l'excellente méthode conçue par Marc Albinet qui est l'un des meilleurs game designer français. Je vous recommande la lecture attentive de son livre Concevoir des jeux video. Continue reading
Posted Sep 18, 2012 at Contrepoint digital
La gamification est une discipline émergente du marketing. Elle consiste à décliner des mécaniques de jeu dans un contexte non ludique. Elle permet d’enrichir l’expérience de tâches répétitives en les rendant plus amusantes, et en leur ajoutant du sens. Elle peut jusqu’à changer le comportement des gens. Continue reading
Posted Sep 18, 2012 at Contrepoint digital
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D’une façon générale, je fais partie des gens qui se méfient des mouvements de foule, quand bien même cela me placerait à contre-courant. C’est le cas avec la marque Apple dont je me sens éloigné, et donc à rebours de beaucoup d’itruc addict. Continue reading
Posted May 30, 2012 at Contrepoint digital
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Les nouveautés opengraph En introduction, FB a mis en avant les nombreux avantages de l’opengraph actuel Une video vue sur dailymotion via FB génère 3 clics sur Dailymotion Il existe une infinité de façon de mettre en œuvre l’opengraph via les actions. L’application senscritique.fr est un exemple de la créativité possible : j’ai envie de de, etc. ; Concrètement les nouveautés (et/ ou usages innovants): User taging : « je voyage avec xxx » plutôt que je voyage à l’endroit y. On peu utiliser un ami comme tag d’une action Rechargement de tous les évènements passés avec une application sur la timeline avant qu’elle soit mise en place Map action l : voir nike+, on peut utiliser les lieux et des maps dans les actions Il faut modéliser les objects, les actions, comme un modèle de données traditionnel. Il faut bien penser cela au début car l’expérience montre qu’il est difficile ensuite de faire évoluer le modèle (problème de pertes de données, etc…) Les objects peuvent générer eux-mêmes des actions (à l’extrême, un évènement détécté par une cafetière peur déclencher l’action « j’ai pris un café »). Attention aux erreurs des publications : il faut les surveiller dans les insights... Continue reading
Posted Apr 24, 2012 at Contrepoint digital
Dans le cadre de mon activité professionnelle actuelle, j'organise et j'anime avec le Social Media Club France , la chaire du divervtissement numérique. Cette initiative est née d'un constat : les contenus de divertissement ont su s'accaparer des évolutions technologiques pour se diffuser toujours plus à tel point que l'on parle aujourd'hui d'une "industrie du divertissement", toujours dominée par les mass médias. Certes les jeux video ont émergé en tant qu'industrie à part mais sans véritablement remettre en cause la puissance des producteurs traditionnels de contenu. Cette fin de décennie apporte un ingrédient nouveau à l'écosystème : les réseaux sociaux. Elle ouvre une nouvelle ère dans la façon dont on consomme et s'approprie les contenus interactifs. Non seulement les contenus devraient-ils être de qualité pour divertir, puis devenir interactifs mais il faut aussi qu'ils deviennent sociaux. La Chaire du Divertissement Numérique se propose d'explorer ces questions. Elle ira à la rencontre de ces contenus qui n'ont pas encore de nom et qui se déploient au carrefour du divertissement, de l'interactivité et des réseaux sociaux. Elle tachera de les caractériser sous divers angles : comment les produire ? qui les produit ? quels sont les usages actuels ? quels usages futurs... Continue reading
Posted Nov 1, 2011 at Contrepoint digital
Vous trouverez ici quelques uns des autres billets publiés il y a quelques temps, mais dont l'actualité récente ne cesse remettre au goût du jour : Quel avenir pour la presse écrite : La revolte des éditeurs sur le business modèle AppStore... La tentation du low-cost : La crise est revenue cet été. La google bomb : Panda est passé par là, aussi, cet été... Hard times for old methodologies : France TV vient d'annoncer une nouvelle version de son qualimat pour 2012... Continue reading
Posted Sep 20, 2011 at Contrepoint digital
J’ai été en contact avec le service marketing d’un grand distributeur national qui a démarré récemment une grande campagne promotionnelle. Un gros investissement et une mécanique promotionnelle pas tout à fait évidente pour le consommateur… J’ai été frappé par la façon dont cette opération a été menée. Jusqu’au dernier moment, les services études marketing n’ont pas été prévenus de l’opération. Cela était convenu avec l’agence et le directeur marketing (belle preuve de confiance renvoyée aux équipes internes…). Puis bien sûr, 24h après le lancement, le même directeur marketing demande déjà des résultats : notoriété de l’offre, niveau de compréhension, mémorisation etc… d’autant que ces résultats n’étaient pas à la hauteur des attentes, près d’un tiers des consommateurs n’ont pas compris pas la mécanique en question. Et en amont, plusieurs mois avant, tous les budgets permettant aux magasins de mesurer directement les items de satisfaction grâce à des méthodes simples quanti et quali avaient été coupés. Bref, centralisation et botom down. Cette anecdote met en avant deux problématiques Les études marketing sont perçues très faussement : les techniques de recueil d’information (questionnaire off ou on line) sont si simples, qu’on a vite oublié tout le nécessaire avant et après ces questionnaires.... Continue reading
Posted Apr 11, 2010 at Contrepoint digital
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Mar 15, 2010
J’ai découvert l’excellent blog de Nicolas Bordas, grand professionnel reconnu de la publicité et blogueur prolixe tout autant que pertinent. Au-delà des très bons débats qu’il sait ouvrir, ses billets sont intéressants car ils démontrent comment il est possible d’être, en même temps, dubitatif à propos des réseaux sociaux (ici) tout en en étant un utilisateur passionné, en particulier pour promouvoir son livre (ici) et de son activité professionnelle (ici). Le paradoxe ne touche pas que les consommatrices de moins de 50 ans… L’un de ces débats (ici) me fait réagir car il est au cœur de ma réflexion actuelle et révélateur du clivage qui se dessine entre les tenants de la publicité traditionnelle et la nouvelles approches du métier de communiquant : faut-il rémunérer les créatifs au prorata de la valeur créée par leurs idées ou proportionnellement au temps passé ? Les publicitaires traditionnels mettent la création au sommet de la création de valeur. Pour eux, une bonne idée de publicité conduit à grossir les ventes d’une façon exponentielle par rapport à ce qu’elles auraient pu être sans cette même idée. Et il leur parait naturel d’être rémunéré proportionnellement à cet écart, et donc de toucher beaucoup d’argent en... Continue reading
Posted Mar 7, 2010 at Contrepoint digital
J’ai été témoin de la surprise de directeurs marketings ou de communication à propos de taux de facturation journalier « indécent » des consultants. En creusant, je me suis aperçu qu’étant donné le peu de prestations qu’ils achètent sous cette forme, ils n’ont aucun référentiel. Ce billet donne quelques points de repères utiles. Taux journalier de référence : Stratégie : environ 1300€ jusqu’à 3000 € Management : entre 800 et 1200€ Informaticien SSII / graphiste spécialisée (type webagency) : entre 450 et 700€ Informaticien SSI non spécialisé : 300 à 600€ Il s’agit de taux moyen d’un consultant avec 3 à 6 ans d’expérience, taux qui n’est pas très loin du taux moyen de la société d’ailleurs. Ces taux sont perçus souvent très chers par les personnes qui n’ont pas l’habitude de manipuler ces métriques et qui confondent taux et salaire. Les consultants ne travaillent pas 100% de leur temps. On évalue à 20 à 25% le temps d’inter-contrats, de formation, ou le temps consacré aux propositions commerciales….et il y a les vacances (5 semaines par an), soit 10% du temps, puis il faut considérer la marge de la société qui évolue entre 40% pour le conseil en stratégie à... Continue reading
Posted Feb 17, 2010 at Contrepoint digital
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La conférence traitant des media sociaux et organisée par Seesmic, Microsoft et Razorfish est très représentative de toutes ces conférences « donneuses de leçon » aux marques. Les speakers sont brillants, les idées lumineuses…Mais derrière la description idyllique des opportunités que saisiraient les marques en utilisant leurs produits ou leurs services, il n’est pas fait état des difficultés à les mettre en œuvre et surtout à quels impacts se préparer. Cela est parfois agaçant… Reprenons, l’ère du mass media consistait à bien analyser stratégiquement son marché (le planning stratégique), imaginer un bon message (la création), et utiliser les mass media pour diffuser le message aux bonnes personnes (achat média). En schématisant à l’extrême cela donne cela : La marque était donc organisée autour de ce processus simple. Puis est venu l’ère du marketing direct et du ciblage. Le processus n’était pas modifié profondément. Il fallait adapter les messages à une logique plus personnalisée et se poser la question plus finement sur la cible et trouver le media le moins cher. En schématisant à l’extrême encore un fois cela donne cela : Mais aujourd’hui, les marques doivent « rentrer dans les conversations ». Elle ne s’adresse donc plus à un marché... Continue reading
Posted Feb 6, 2010 at Contrepoint digital
Voila résumé en quelques idées simples, la vie quotidienne d’un directeur internet dans un grand groupe ou celle d’un chef de projet tel que je l’ai vécu ou tel que certains me l’ont raconté : · Le directeur Internet cannibalise le canal traditionnel. Un directeur internet = moins de ventes pour les autres directeurs · Internet n’a jamais été une compétence dans une grande entreprise, elle n'est pas un critère d’évaluation des hauts potentiels (On ne devient pas chef de zone chez L’Oreal grâce à internet). Donc, un directeur Internet = 0 crédibilité sur le métier ou 0 sur Internet s’il vient du métier traditionnel · Qu’on le veuille ou non, Internet est plus qu’un simple canal de vente, c’est un outil de marketing direct (tous les visiteurs d’un site web ont un mail). Un directeur Internet = directeur de la fidélisation + dir de la conquête client ? · Internet est un démultiplicateur d’image. L’utiliser, c’est être moderne, le sous estimer, c’est laisser le champ libre aux concurrents, mal l’utiliser, c’est risquer une crise. Un directeur Internet = exp(directeur de la communication externe). · Internet c’est avant tout de la technologie à intégrer pour chaque fonctionnalité et parfois des... Continue reading
Posted Feb 1, 2010 at Contrepoint digital
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Plusieurs personnes me demandent de préciser ma pensée lorsque je critique les pratiques actuelles dans les fonctions marketing et communication. A mot couvert, je comprend que l'angle de vue que j'aborde ne leur semble pas très clair... Alors, j'ai décidé de revenir aux "basiques", en compulsant les livres fondateurs des pratiques d'aujourd'hui. Je veux parler des bibles que sont le Publicitor ou le fameux "Kotler" qui , avec leur 1200 pages, ont encombré les tables de chevet des nombreux directeurs marketing actuels pendant leurs études. Et j'ai été surpris de découvrir que la réalité de leur métier, c'est à dire ce qu'ils ont à faire en relation avec les autres départements de l'entreprise, n'est quasiment pas abordé. J'ai trouvé 15 pages au maximum sur "l'organisation des services marketing". Ma deuxième surprise a été encore plus grande. Les auteurs ont une vision qui ignore totalement la dimension organisationnelle et process des entreprises. Voici par exemple, comment Kotler décrit la position d'un chef de produit (extrait de Marketing Management, dernière édition): Selon Kotler donc, le chef de produit doit se synchroniser avec pas moins de 12 autres organisations hors et dans l'entreprise !!! Or dans n'importe quel manuel d'organisation, une telle situation... Continue reading
Posted Jan 30, 2010 at Contrepoint digital
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Jan 29, 2010