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Antoine Teillet
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Bonjour, Je découvre votre blog et je ne peux m'empêcher quelques réflexions sur cette note et particulièrement sur votre passage concernant les universités autonomes même si liées financièrement à l'Etat (Et par là donc quelle autonomie réelle?) La question mérite en effet d'être posée, mais il y aurait pour les facs d'autres moyens d'accroître leurs revenus et donc de pouvoir mener la politique que leur autoriserait plus d'autonomie... Pourquoi ne pas penser à une ouverture des universités aux entreprises via le mécenat, les fondations et les chaires? Je conviens que faire entrer le grand capital dans un monde universitaire souvent allergique à l'entreprise relève souvent du défi mais voilà une solution non? Et par la même, il serait moins nécessaire d'augmenter les droits d'inscription... Solution encore hélas, bien souvent taboue... On entend même parler, ici ou la, de conditionner le financement des universités à leurs performances... Intéressant non? PS/ Je vous invite à faire un tour sur mon blog, si vous le trouvez intéressant, contactons-nous!?
Toggle Commented May 25, 2007 on COMMENT REFORMER L'UNIVERSITE ? at Librement !
Bonjour Mathieu, Depuis la fin février plus exactement;)
Bonjour John, bonjour Patrick... Voilà des commentaires engagés... Que les défenseurs de HEC n'hésitent pas non plus à se manifester. Etudiants, enseignants, j'attends tout le monde... A bientôt.
Merci Corinne :)) Et bonjour Corinne ;) Et bonne année Corinne :p
Bonjour John, Et merci tout d'abord de t'être arrêté sur ce blog :) Pour tout dire, je me suis essentiellement concentré dans cet article sur les partenariats qui avaient été conclus récemment. Il se peut même que j'aie loupé quelques accords sur 2006. Je le reconnais, il est parfois regrettable de faire des choix. Mais les grandes écoles sont si nombreuses qu'il est souvent plus intéressant de s'en tenir à quelques partenariats que l'on décrira de manière relativement complète que de tous les citer trop rapidement. De la même manière, il est plus facile de présenter les écoles communiquant beaucoup que celles qui restent discrètes. Et discrète, l'EISTI l'est peut-être un peu trop. De fait, je n'ai moi-même découvert cette institution qu'à la lecture de son excellent classement, 12e dans "Challenge". Une injustice que j'ai d'ailleurs tenté de réparer à mon modeste niveau puisque j'ai présenté cette école dans une note remontant au 7 septembre. Je t'invite à la découvrir, j'y parle d'ailleurs dans une certaine mesure des partenariats que tu évoques... Pour ce qui concerne enfin l'ESC Grenoble, j'ai également noté son très bon classement Financial Times dans une précédente note, mais je reste très réservé quant à la pertinence de ce genre de ranking. Autre polémique en vue? A bientôt
Bien vu JC... Les résultats sont exactement les mêmes pour l'Express, et pour cause, l'enquête a été menée en commun.
J'ai trouvé dans "Les Echos" une remarquable analyse d'Erik Izraelewicz, en voici quelques extraits en complément de cette note... L’Université française a peut-être bien des qualités, elle est aussi et surtout une véritable fabrique à chômeurs. Il y a des facs qui ne délivrent que des clés pour l’ANPE. Trois ans après leur sortie de l’université, 11% des diplômés n’ont pas d’emploi. Dans les filières où il y a des débouchés, les taux d’échec sont considérables. 20% des jeunes qui entrent à l’Université en sortent sans diplôme. Alors, pour sortir de cette situation, la commission Hetzel fait des propositions originales à un double titre. D’abord, elle ne préconise pas une nième grande réforme ; elle propose plutôt l’introduction, souvent immédiate, d’un tas de petits dispositifs. Ensuite et surtout, elle rejette les intégrismes de tout bord. Deux exemples. Pour certains ayatollahs, la solution, c’est la sélection. La commission Hetzel dit non. Non à une sélection malthusienne. Elle lui préfère une orientation des jeunes qui doit d’ailleurs commencer bien avant le bac. Pour d’autres ayatollahs, la solution, c’est une professionnalisation systématique de toutes les formations. Là encore, la Commission dit non. L’insertion des jeunes sur le marché du travail doit être l’une des préoccupations de l’Université, pas la seule. Les universités doivent se rapprocher des entreprises, la proposition risque de braquer certains universitaires. Ce rapprochement, c’est l’une des idées fortes de la Commission. Celle-ci appelle par exemple les entreprises à ne pas chasser ses futurs cadres que dans les grandes écoles, à aider les universités à définir leurs filières, à les financer sous certaines conditions, à les informer sur les perspectives du marché de l’emploi, à leur proposer des stages et des formations en alternance. U L’université ne doit pas être à la solde de l’entreprise ; elle doit néanmoins travailler avec elle. C’est dans l’entreprise que sont l’essentiel des emplois de demain. Même si elles ne sont pas une entreprise, les universités doivent par exemple accepter une plus grande clarté dans la présentation de leurs produits, de leurs filières, accepter aussi de comparer leurs performances. Pour que les étudiants puissent s’orienter en connaissance de cause. Bref, entre l’université et l’entreprise, une paix des braves s’impose, d’urgence.
Pour ce qui est du logo, c'est corrigé... Pour ce qui est de la typographie, voilà qui mérite réflexion... J'en étais resté à une ancienne règle qui veut que les abréviations (HEC) restent en capitales alors que les acronymes (Insa ou Enseeiht) s'écrivent en bdc. Je vérifie de ce pas. Si tu avais raison, j'en prendrais bonne note pour la suite... Merci en tout cas du compliment et de ton encouragement. :)
Je confirme, c'est impressionnant. Félicitation... Si on m'avait demandé la même chose... Et félicitation pour ce blog que je viens de découvrir, très intéressant.
Toggle Commented Sep 17, 2006 on Tir au pigeon... at 4largo & Co
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