Plein de bisous, Apolline. Les mots étant inutiles après ce si beau et poignant message où l'on a l'impression de sentir planer le souvenir de cette petite fée sur les roselières. Je t'embrasse et je n'imagine même pas toute la tristesse de ta famille et de toi-même. Bien à toi.

J'aime beaucoup ces facettes de l'art abstrait

Ce qui est dommage c'est que ce problème, comme d'autres semble rentrer dans la banalisation. On ne parle déjà plus des retombées et des conséquences. C'est terrible. Comme tu le disais ailleurs, il va falloir surveiller les programmes au moment des élections. Marre qu'on se moque de nous! BIses Apolline.

C'est une excellente nouvelle, que je suis heureuse de partager. Au-delà des divergences, je salue ta sortie de l'enfer, ton courage et la beauté de tes billets que je viens lire de temps en temps. J'apprécie souvent en silence.

Merci pour cette photo. J'aime beaucoup aussi ces petites charrettes aperçues ici et là.

Je suis heureuse de te faire plaisir. Je laisse les impressions venir à moi et je les restitue telles qu'elles se sont imposées à moi. Affectueusement.

J'ai parcouru toutes les photos en grand format. Ce qui me frappe c'est le calme alors qu'ailleurs commençait la légitime tempête qui nous faisait craindre pour ta présence dans ce pays à ce moment-là. Les scènes de vie sont belles mais quelle aridité et les vaches sont faméliques; je doute qu'elles aient un lait abondant. J'aime aussi beaucoup ce petit train de paille sur fond de montagne sèche et pierreuse. Merci de ce partage.

Une très belle vue , Martine. Je te remercie pour tes vœux et je te souhaite le meilleur pour cette année 2011. Je t'embrasse. Maïté/Aliénor http://eclats-de-mots.fr

Comme posée à la croisée des nuages, sur un lit en feux de fleurs vaporeux Elle tend son visage vers le fauve des cieux. Onirique, onirique c'est son credo sa boule de cristal, son habit de l'ego Sa peau de biche, son paréo Sa vertu assassine, son teint de poudre Sa toison brune, ses sens dessous la brume son voile d'innocence, sa pose par surprise C'est cadeau au Petit Prince, au renard et à la Licorne dessinée dans un souffle Dans un rêve, une brûlure au creux des reins C'est une lueur qui frôle dans la nuit Un tapis flottant sana amertume Juste une orange venin et sucre amers un présage, un rite de passage entre les pieds sur terre et la tentation de la chair fruit de la passion. Maïté L

Apolline de tout cœur avec toi. Je te lis souvent même si je ne laisse pas de trace. Je t'embrasse.

Merci Marithé, pour les couleurs qui illuminent murs,vie et mots. Merci à ceux qui aiment l'association spontanée peinture/mots. Maïté/ Aliénor

J'espère que Martine nous excusera d'échanger sur son site. Je suis désolée pour toi et la pauvrette. Que de courage il va falloir! Je t'embrasse du fond du cœur et je t'embrasse aussi Martine.

Bonne et belle exposition. Tes amis du sud-ouest seront en pensée avec toi. Bisessssssssss Maïté/Aliénor

Bonjour Apolline, oui c'est moi Maïté/Aliénor. Bisous à toi aussi.Je te lis dans tes différents messages. Je suppose que comme moi tu n'as pas activé ton blog Typepad Tu peux me retrouver ici aussi: http://eclats-de-mots.fr

Bonsoir Martine C'est toujours plaisant d'entendre cette chanson dans les manifestations. Car moi aussi je vais là-bas, par solidarité dire mon désaccord, pour toutes les raisons que tu as avancées et bien d'autres.Pour les jeunes, pour ceux qui ne peuvent descendre dans la rue, pour ceux qui ont une retraite de misère. Pour dénoncer ceux qui font passer leurs intérêts particuliers au premier plan et qui veulent nous faire croire que là réside l'intérêt de tous. Et je voudrais que l'on n'oublie pas qu'il ne suffit pas de compter de façon partiale et cynique les manifestants et que tous les mécontents ne sont pas dans la rue. Je t'embrasse. Maïté

C’est un pont berlingot Une ligne de fuite Un soleil sur les flots. La mer a l’air solide Elle a sorti sa fraise Son coulis des grands jours. D’ailleurs les tours Au loin s’en sont émues Et le rose aux murs Leur est monté. Le pont s’en va Compter ses pas sur l’eau. Il arbore ses dents A croquer les berlingots A siroter les fraises. Et que l’horizon d’or me pardonne Il n’y a pas de fumée sans fraise Pas de souffle sans grenade Le pont, fuit et s’élance A l’assaut d’un point Où la flamme le rejoint. Nous irons croquer les friandises. Nous irons cueillir les fruits A pleines brassées ondines De pont en horizon Nous irons. Maïté L

Bravo pour le périple et pour la photo; Bises

magnifique

Belle histoire de la Mitzi qui ne sait pas sa chance mais qui, comme tous les chats se fait avoir par le principe de la gamelle.

Très belle légende très triste .

J'arrive un peu tard mais en pensée je te souhaite de bien cheminer.