Un plan de retraite qui se voit obligé de s'ouvrir à toujours plus de cotisants pour pouvoir satisfaire les pensions des premier venants (les architectes) ressemble à s'y méprendre à un plan Ponzi. Les actuels cotisants de la CIPAV seront obligés de vivre jusqu'à 120 ans s'ils veulent récupérer leur mise, et ceci en euros dévalués. Une épidémie meurtrière reste le seul espoir de cet organisme, et sans doute des autres RSI et compagnie, pour éviter l'effondrement du système. Avec un taux de mortalité suffisamment élevé et une progression rapide de la maladie même les remboursements pour le traitement pourront être évités. Pour le moment, leur stratégie de stresser à mort un max de retraités s'avère insuffisante.