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Quatremer
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Depuis le mois de décembre en attendant sa suppression par Syriza. Le gouvernement a appelé les contribuables à payer l'impôt vu le manque à gagner dramatique. Mensualisé, ça veut dire que tout le monde paye automatiquement? Tiens au fait, c'est quoi un "déchainement de haine"? Dire ce qui est? Ne pas être la Pravda de la gauche radicale française qui n'a pas la moindre idée de ce qu'est la Grèce?
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Non seulement vous vous trompez de papier, mais en plus vous administrez la preuve que vous ne lisez que ce que vous voulez bien lire. Prenez votre doigt et relisez lentement en respirant et on en reparle, usant, vraiment.
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Bruxelles? Ça veut dire quoi?
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Les remboursements de mars semblent déjà budgétés. Mais pas de relance possible effectivement.
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Cela s'appelle un article, pas une thèse de doctorat d'Etat où l'on rappelle dans le détail tous les évènements antérieurs. Quant à la baisse du PIB, elle était inévitable: la richesse grecque est à son niveau de 2004. Ce qui a disparu, c'est l'enrichissement à crédit, la bulle artificielle.
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C’est à prendre ou à laisser. L’Eurogroupe (les dix-neuf ministres des Finances de la zone euro plus la Banque centrale européenne et le Fonds monétaire international), qui s’est réuni lundi... Continue reading
Posted Feb 16, 2015 at Coulisses de Bruxelles
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Ça n'est pas l'objet de ma réponse. Faut suivre.
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L'Allemagne et le Danemark le font. Etonnant, non? Ou plutôt, ils se désendettent.
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Un papier, des commentaires passionnants de certains internautes et abracabra, Midas débarque: la France annule la dette grecque, perd 30 milliards au bout de 50 ans, mais elle ne les rembourse pas au bout de 50 ans. C'est magique la dette, magique. Annulons, annulons!
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Ils étaint Français. Les frontières intérieures n'auaraient rien changé. Pas plus que le PNR, puisqu'ils étaient déjà suspects. Et le Danois, suspect, n'était même pas sorti de son pays...
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Les attentats de Paris et de Copenhague ont donc été commis par des immigrés de fraiche date? Non, par des gens nés chez nous et qui, en dehors de l'attentat de Brxelles, n'ont pas quitté leur pays de naissance.
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L’Ukraine et la Grèce ont quelque peu éclipsé, lors du Sommet européen de jeudi, à Bruxelles, la lutte contre le terrorisme. Néanmoins, un mois tout juste après les attentats de... Continue reading
Posted Feb 15, 2015 at Coulisses de Bruxelles
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On a effacé les dettes de Libé? Quand? On m'aurait caché quelque chose ? 😄
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Catastrophe humanitaire... Et vous dites quoi en parlant du Kiwu?
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Passet qui s'appuie sur Best... Rigolo.
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Non, Best veut faire croire qu'un défaut grec ne serait pas douloureux. Ce qui est comptablement et politiquement faux. Ce qui me sidère, c'est de voir la bonne gauche radicale qui passe son temps à hurler qu'on ment au peuple être prêt à mentir dès lors que ça sert son idéologie. Ou plutôt, non, ça ne m'étonne pas.
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Interview demandée. Et acceptée.
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Mais n'alourdit pas la dette publique, car il y a une CRÉANCE. Si la créance disparait, là, comme je l'explique, ça alourdit la dette.
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Merci de rétablir la vérité.
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C'est l'argument de Pigasse, Toral, pas celui du commentateur 😊
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C’est le dernier canard qui fait fureur sur le net : l’annulation, totale ou partielle, de la dette grecque détenue par la zone euro (251,5 milliards d’euros sur 321 milliards)... Continue reading
Posted Feb 14, 2015 at Coulisses de Bruxelles
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Les banques, les assurances et les fonds de pension ont eu tort, effectivement, mais d'investir en Grèce. Ils n'auraient jamais du faire confiance à ce pays ou alors lui prêter à des taux d'intérêt stratosphériques, ce qui aurait empêché son développement à crédit. Les institutions financières ont gagné de l'argent, mais peu au regard du risque. Les taux d'intérêt consentis à la Grèce étaient quasiment les mêmes qu'en Allemagne. En revanche, au final, elles ont quand même pris une taule de 115 milliards d'euros en 2012 (répercutée sur vous et moi, car c'est notre argent qui est prêté pour nous servir une rémunération de notre capital). Les Grecs ont gagné dix ans de rêve avec des salaires qui ont explosé financés par la dette publique. Aujourd'hui, le PIB grec est revenu à son niveau de 2004. Son PIB réel, celui d'avant la bulle. Aujourd'hui, seules les institutions financières grecques sont encore exposées en Grèce, comme je l'ai expliqué dans "Dette, mode d'emploi". Donc, si on fait cadeau de la dette aux Grecs, ce sont les citoyens européens (y compris les Lettons, les Slovènes, les Slovaques, plus pauvres que les Grecs) qui vont payer. C'est aussi simple que cela. Cela ne me dérange pas, mais il ne sert à rien de le cacher.
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Merci Rick ;-)
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