Ouais, Despé, moi j'ai rencontré Lagaf' dans un magasin de location de jet-skis... Ben pitoyable, tout pareil. Arf.

Et sinon, toute cette attention (y compris médiatique) sur le blog de la tricoteuse, j'espère que ça ne la découragera pas de continuer? J'ai comme l'impression que c'est une personne qui, malgré son grand talent, sa finesse d'esprit et son humour à toute épreuve, n'aime pas trop se trouver au centre de tous les regards...

Tu les loues, des fois, tes gamins? Parce que vraiment, ils me tuent! Le grand machin, la tête dans les nuages et les pieds dans ses chaussures pour aller dans l'eau; la petite chérie, avec son sens de la répartie qui laisse à penser que les chiens ne font pas des chats; et Rose...à tomber par-terre de mignonnerie et de branchitude! Et puis la consécration de Délit Maille... Hier soir, j'étais hystérique devant le Grand Journal. Mon mari, pris à témoin (je lui avais montré le blog de la tricoteuse la veille au soir), a très poliment pris un air presque intéressé, mais m'est avis qu'il a du mal comprendre mon enthousiasme... Yeah!

Depuis ce matin, je viens tous les quarts d'heure voir ce billet, et à chaque fois, je pleure de rire! Bravo, bravo, bravo à la Tricoteuse Masquée! Moi je dis, ça mériterait un commentaire par le Churros himself, non?

Très joli billet et qui résonne en moi, comme toujours... Pour les muffins, les meilleurs testés à ce jour sont ceux aux pépites de chocolat/poires. La poire (au sirop) apporte un moelleux incomparable... Des bises!

Pfff, pas mieux, je pouffe tout en essuyant une furtive larme d'émotion. Tout ça à la fois... Des bises à cette si jolie famille. Ps: attends, mais un "J'aime lire",quoi! j'm'en remets pas.

J'adore cette photo! J'aimerais tant être à la place de ta fille: allongée au soleil, et n'ayant pas encore lu la saga HP...

Ouh là... Frissons et larmes aux yeux, comment expliquer ça à mes collègues de bureau? Samedi soir, mon Attilou de 2 ans a chuté bêtement, et est allée s'éclater contre le bord de la table basse... J'ai littéralement senti mon coeur s'arrêter. Et j'ai attendu très longtemps qu'il veuille bien recommencer à battre... Au final, le gentil médecin des urgences (oui oui, adorable, ce monsieur) nous a rassuré (un œuf énorme sur le front et une simple égratignure par-dessus), mais je n'ai pas dormi de la nuit qui a suivi: le souci, d'abord, et puis la scène que j'ai revécue 100 fois. Je n'arrêtais pas d'entendre le bruit du choc, et de revoir la bouille de ma petite fille qui s'est mise à hurler en se relevant... Rien de vital, mais j'ai compris que ma vie désormais serait faite de ça, de joies immenses mais aussi d'angoisse permanente. Magnifique texte, Caro, qui me donne envie de te prendre dans mes bras. Mille baisers à tes cornichons...

Leur filer des coups de pied pour de vrai...